Canalblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
Publicité
Mes becs crochus, mon élevage, ma passion
Archives
2 novembre 2011

Grands Alexandres

 

 

 

 

 

 

Rien n'aurait pu me laisser imaginer une seconde que je serais conquise par cette espèce que j'avais déjà vue dans différents livres ou sites consultés;  Je les trouvais jolis mais sans plus...jusqu'au jour où j'eux l'occasion de voir un couple bien réel lors d'une de mes visites chez une éleveuse pour l'achat de mes conures nanday.

Ce fut alors le coup de foudre; ils étaient dans une grande volière en collectivité et étaient très calmes.  La dame m'expliqua qu'en fait ces oiseaux poussaient quelques cris assez stridents le matin et la même chose le soir mais qu'entretemps elle ne les entendait pas.   Confirmation de ce comportement me fut faite par une amie qui en posséde ainsi que sur le net.

Il se passa quelque temps avant que je ne tombe sur une annonce d'une dame qui revendait son couple; des photos y étaient jointes et les oiseaux semblaient très beaux.  Contact  fut pris directement ainsi qu'une multitude de questions posées d'ordre pratique se rapportant à ces oiseaux  et quelques jours plus tard je me rendis chez cette dame.  Les oiseaux étaient pour la plupart très beaux et très bien entretenus. Cette dame m'expliqua récupérer des oiseaux dont les propriétaires ne voulaient plus où qui étaient mal soignés; elle s'en occupait alors, les soignait avec beaucoup d'amour puis les revendait à des personnes "sélectionnées" en fonction du contact avec le futur acquéreur.  Elle ajouta que son objectif était de rendre le plus possible d'oiseaux heureux et donc après les avoir soignés, pour autant qu'ils puissent être indpédants et accepter un changement de domicile elles les revendait à des personnes qui en prendraient bien soin, et ce afin de récupérer un peu d'argent qui servirait à soigner d'autres malheureux

Au rez de chaussée se trouvait une première cage volière contenant deux gris du Gabon; un était très bien physiquement mais très peureux, tandisque l'autre avait le plumage piqué.  Elle m'expliqua que ce pauvre petit était la propriété d'une dame assez âgée qui à part lui donner à manger et à boire ne s'en occupait pas.  Jamais de sortie hors de la cage qui se trouvait de plus dans un endroit très sombre et  à l'écart de toute vie.  Depuis qu'il a été recueilli  ce petit gris a déjà récupéré une partie de son plumage toutefois il demeure très délicat car le moindre petit changement, le moindre stress le pousse à se repiquer, comportement qu'elle remarqua lors de travaux chez elle; en effet, durant une semaine la cage dût être déplacée de quelques mètres durant la réfection du parquet et malgré la compagnie des oiseaux auxquels il était habitué, il se piqua de nouveau..  La dame eut alors l'idée de le mettre avec un autre petit gris ce qui fut une idée géniale car depuis cet oiseau s'est très épanouis.et ne pense plus à se piquer. Elle me précisa toutefois que ce petit restera chez elle et ce dans les mêmes conditions de vie et de compagnie qu'actuellement.

Dans une autre volière toute proche se trouvait un cacatoes élevé à la main qui lui appartenait.  Il avait le plumage magnifique; mais ce qui me frappa fut l'attitude sereine de cet oiseau habituellement réputé comme très criard et très caractériel; j'en avait d'ailleurs vu d'autres mais aucun n'était aussi brave que celu-ci,

Après le rez-de-chaussée ce fut au tour de l'étage d'être visité et là aussi ce que je vis allait dans le même sens qu'au rez-de-chaussée;  des cages propres, un environnement bien éclairé et bien aéré et surtout des oiseaux bien dans leur tête.  Mon futur couple de grands alexandre s'y trouvait et c'est là que j'eus le premier contact avec eux.

La dame m'expliqua que la femelle, qu'elle avait élevée elle-même à la main était finalement très apprivoisée avec son mari .  Elle avait 2 ans et n'était pas baguée, toutefois la dame avait des photos de l'évolution de l'oiseau..  Le mâle par contre était un oiseau qui avait été nourri à la cuillère par un éleveur de ma région mais qui n'avait pas été manipulé à cette époque.  Il était donc très sauvage à tel point que ses ailes avaient dû être rognées il y a 6 mois car malgré les rideaux il se cognait régulièrement dans les carreaux lors de ses sorties qui étaient devenues de ce fait très rares. Afin de préserver l'oiseau sans séquelles cette taille des plumes avait été effectuée par un vétérinaire aviaire, preuve du respect des oiseaux par ces personnes.  Pour la petite anecdote il s'avère que je connaissais l'éleveur d'où venait ce petit mâle et lors d'une de mes visites chez lui j'avais pu voir l'oiseau qui serait le mien maintenant.

La femelle, qu'ils appelaient cajou sortit effectivement de sa cage et alla directement sur l'épaule de son mari qui me la tendit alors.  Elle vint sur mon épaule sans aucun problème puis retourna près de lui. 

Le petit mâle, nommé Pécan sortit effectivement de sa cage et je pus constater que la dame ne m'avait pas raconté d'histoire car aussitôt en liberté l'oiseau prit un envol puissant, ses ailes ayant repoussé entretemps.  Celà se termina effectivement dans la fenêtre, heureusement sans gravité.  Ce fut pour moi l'occasion d'approcher l'animal et de procéder à ma première séance d'apprivoisement.  En effet, sous les yeux attentifs des propriétaires j'approchai tout doucement une main de chaque côté de l'oiseau tout en lui parlant d'une voix très douce et rassurante.  Quelques minutes plus tard l'oiseau posa alors une patte sur ma main, pui l'autre.  Je le félicitai à profusion puis petit à petit je commençai à le carresser derrière la tête pour finalement l'amener délicatement sur mon épaule. 

1

Il n'en fallait pas plus pour convaincre la dame qu'elle avait fait le bon choix en me les confiant.  C'est donc ainsi que je fis la connaissance d'une dame passionnée comme moi, expérimentée avec qui je décidai de garder contact ne fut-ce déjà que pour lui donner des nouvelles de ses petits protégés.

Le retour se passa sans encombre; je ne les entendis même pas et arrivés à la maison je les installai directement dans le sas de sécurité, espace plus confiné que la grande volière, mais atteignant quand même un mètre sur deux, afin de leur permettre de s'habituer à leur nouveau milieu sans danger et sans risque d'aller se cogner durant la nuit dans les grillages auxquels ils n'étaient pas encore familiarisés.

La première nuit se passa très bien.  Au petit matin j'allai faire mon petit controle quotidien mon appareil photo à la main.  Au cours de la séance photo je remarquai que Pécan était particulièrement attiré par l'appareil au point d'en oublier son stress et sa méfiance et d'oser s'approcher de mon visage. 

2

J'utilisai alors ce moyen d'approche et à la fin de ma visite Pecan venait bequer dans mon doigt et me lécher le bout du nez.  J'étais tellement étonnée et contente que je décidai de laisser mon couple dans cet espace le temps pour moi de bien les apprivoiser tous les deux.

Cajou quant à elle ne prétendit pas venir sur moi ni même s'approcher et à la moindre approche de ma main elle se montrait très agressive gonflant ses plumes, rétrécissant sa pupille et n'hésitant pas à foncer si je faisais mine de réduire l'écart entr'elle et moi. 

3


C'est alors que je sortis un troisième personnage qui allait m'aider pour la suite des opération d'approche.  En effet je possédais une petite perruche à collier répondant au nom de Lotti que j'avais recueillie et qui ne s'était jamais sentie bien qu'à l'intérieur de sa cage où elle retournait après une brève sortie dans le sas histoire de se défouler un peu.

Lotti comme à son habitude sortit donc de sa cage et vint se poser sur mon épaule;  C'est alors que du coin de l'oeil je vis Cajou prendre beaucoup d'intérêt pour cette intruse qui osait venir sur moi.  Tout doucement je l'invitai de la voix à venir la rejoindre.  Je la voyais de plus en plus hésitante et finalement elle n'y tint plus et vint se poser sur mon autre épaule.  Pour moi je considérais cette étape comme une étape remportée vers l'apprivoisement.  Vu leur comportement en collectivité je décidai de maintenir Lotti en extérieur tout en ayant bien pris soin de refermer sa cage afin d'éviter tout risque de querelle territoriale.  C'est donc ainsi que mes oiseaux vivent maintenant, du moins pour l'instant, le temps pour moi d'analyser leur comportement de manière à ce que je puisse en tirer le plus de confiance possible.

************************************

Nous voici presqu'à la fin décembre et mon couple est chez moi depuis le début novembre, soit presque deux mois au cours desquels j'ai travaillé l'approche de ces deux oiseaux formidables.

Le progrès touche principalement Cajou, la petite femelle; en effet, bien que la petite soit venue sur mon épaule sans problème chez les anciens propriétaires, une fois dans la volière elle se montrait très agressive attaquant ma main à la moindre de mes approches, même pour simplement remplir son bac à graines.  Tous les "non" fermes n'avaient aucun effet sur Cajou qui gonflait son plumage, rétrécissait ses pupilles tout en me fixant pour me dissuader d'approcher.  Elle était terrible.  Elle ne venait plus non plus sur mes épaules mais se contentait de me regarder dès que je m'adressait à Pekan.

Un jour qu'elle avait l'air particulièrement affamée, j'eus l'idée de lui présenter une graine de tournesol très adorée.  Se faisant, je l'observais, prête à écarter la récompense en cas de mouvement brusque de la part de l'oiseau.  Lorsque celui-ci se faisait, je retirait mon doigt tout en lui disant "doucement" d'un ton très calme et assez lent pour que Cajou perçoive la douceur de la voix et l'associe à un mouvement plus délicat de sa part.  Je dûs m'y reprendre à plusieurs reprises avant qu'enfin ma Cajou ne vienne chercher délicatement la graine tant convoitée de la manière que j'attendais ce qui lui vallut immédiatement un "bien Cajou" accompagnée de l'offre de sa récompense bien méritée.

Cet excercice fut répété tous les jours et je profitais du moment de distribution de nourriture pour le faire.  Petit à petit Cajou apprit à se dominer et à venir chercher son tournesol de manière civilisée.

Parallèlement à ça, dès que Cajou avait reçu sa graine je m'adressais alors à Pékan pour le même excercice; celui-ci fut nettement plus rapide à répondre positivement à ma demande.

Je passais ensuite à Lotti, la petite perruche à collier qui elle était déjà bien rodée dans le domaine.

Une fois cet exercice atteint, je passai à autre chose à savoir faire accepter les caresses par l'oiseau.

A force de persévérance j'en arrivai à mettre en confiance aussi bien Cajou que Pekan.  Ils étaient devenus très attachés à moi à un point tel que Pekan  le long de sa volière me suivait partout lorsque je passais d'un bloc à un autre pour nourrir mes oiseaux.  Dès qu'il me voyait il m'accueillait d'un cri particulier et à peine entrée il venait sur mon épaule me faire des calins en frottant son bec contre ma joue.  Cajou quant à elle, un peu plus distante s'approchait et seulement dès que j'avais le dos tourné elle volait pour se poser sur moi. 

A force de contact et de douceur j'étais parvenue à leur faire accepter les carresses de même que la prise de récompenses donnée du bout du doigt.  Deux vrais amours...il n'y a pas d'autres mots.


                                                                                 ********************************************


QUAND LA CATASTROPHE ARRIVE.

On a beau penser à tout il y a toujours bien un élément que l'on oublie ou que l'on fait de travers par méconnaissance des capacités de l'oiseau.  J'en fis les frais le dimanche 5 février.

Il faisait un froid glacial et il avait beaucoup neigé la veille.  Comme à l'accoutumée je m'apprêtais à nourrir mes oiseaux lorsqu'un manque de quelque chose attira mon attention.  Il faisait particulièrement calme....anormalement silencieux mais je n'arrivais pas à déterminer la cause de cette atmosphère pour le moins étrange.  Ce n'est que lorsque je voulus passer dans la volière de mes grands alexandres que je compris l'origine de mon sentiment.  Pékan et Cajou n'était plus dans leur boxe.  En y regardant de plus près je me rendis compte que le grillage de sécurité que nous avions mis sous les plaques de polycarbonate avait été proprement sectionné et laissait un espace d'une trentaine de centimètres sur dix, Il ne me fallut pas une seconde pour comprendre le scénario.  Les deux oiseaux une fois l'ouverture réalisée n'avaient plus eu qu'à se glisser entre les deux couvertures et atteindre ainsi le bord de la volière qui n'avait pas été fermé malheureusement pas été sécurisé, n'imaginant jamais une telle chose possible.  J'eus beau appeler mes deux oiseaux je n'obtins pour toute réponse que le souffle de la bise et les croassements d'un corbeau.


04 02 11 (2)


J'étais comme une âme en peine rôdant partout à la recherche de l'introuvable, scrutant le ciel à travers tous les arbres environnants mais sans apercevoir hélas mes deux Alexandres. Je mis immédiatement des annonces sur les différents sites traitant d'oiseau en attirant l'attention sur le titre écrit en majuscule "PERDU DEUX GRANDS ALEXANDRES" suivi d'un petit texte dans lequel j'indiquais mes numéros de téléphone et de GSM et le tout suivi de 4 photos de mes deux oiseaux.

Durant deux jours je fus prise d'anxiété en pensant à ce temps froid, l'absence de nourriture qui allaient risquer de tuer mes oiseaux.

Puis le mardi soir alors que je parcourais comme à mon habitude les petites annonces animalières mon attention fut attirée par un titre : "trouvé grand alexandre".  La localité de l'annonceur était très proche de la mienne et donc il ne pouvait s'agir qu'un de mes oiseaux.  La personne y renseignait que l'oiseau avait été trouvé mais que ses enfants en ayant peur elle ne pouvait le garder.  Elle réclamait une somme de trente euros de dédommagement des frais encourus pour que l'oiseau soit correctement pris en charge,

Pour quelqu'un qui n'a aucune notion du monde des oiseaux comme c'était le cas de cette personne la somme demandée ne semblait pas du tout anormale mais en réalité elle en est dérisoire quand on sait qu'un tel oiseau coûte en moyenne entre 170 et 250 euros.  Le résultat ne se fit pas attendre longtemps et les réponses fusèrent à tel point que la dame après 24 heures  enleva l'annonce ne souhaitant pas restituer l'oiseau à une personne n'en étant pas la propriétaire.

J'avais répondu le soir même de l'annonce soit même pas une heure après que celle-ci ai été placée et durant 24 heures j'attendais une réponse par mail.  Malheureusement aucune suite ne fut donnée aussi mon sang se glaça lorsque je constatai que le texte avait été supprimé.  J'eux heureusement le réflexe de contacter l'administrateur du site afin de lui demander des explications quant à l'origine de la suppression et en réponse j'obtins l'adresse mail de l'annonceur à qui j'adressais immédiatement un message demandant quelques informations quant à ce qu'était devenu mon oiseau.

L'après-midi, alors que je vaquais à mes occupations le téléphone sonna et une voix me demanda si j'avais perdu un oiseau.  Je répondis directement "oui Madame".  Il s'en suivit une longue conversation au cours de laquelle j'appris que c'était ma femelle qui était retrouvée et qui se termina par l'échange d'adresse afin que je puisse la récupérer.

Un quart d'heure plus tard je me présentais chez la brave dame, mère de quatre enfants .  Ne connaissant pas Cajou ils avaient décidé de l'appeler Kindou, région dans laquelle le mari, militaire de carrière devait partir le lundi en mission. J'y retrouvai ma Cajou en pleine forme dans une cage bien propre, avec jouets, nourriture et boisson à profusion.

J'avais pris mon pc portable afin de montrer les nombreuses photos de mes deux oiseaux en guise de preuve ainsi que les clichés de leur travail de destruction.  La dame n'en revint pas.  Elle m'expliqua alors comment Cajou avait été récupérée, tout simplement en se posant sur l'épaule d'un promeneur qui s'était alors adressé à la première maison afin de la mettre bien au chaud.  Ce fut sa chance.  A peine introduite chez la personne salvatrice Cajou se rua sur le plat de fruit et attaqua deux pommes d'affilée après quoi elle s'envola sur l'épaule de la dame qui m'avoua avoir une peur bleue des oiseaux au départ mais que Cajou avait réussi à apprivoiser par sa gentillesse.  C'était donc le monde à l'envers.

La dame s'était renseignée sur internet afin de savoir à quel animal elle avait à faire et quels étaient ses besoins.  Elle avait même collé des feuilles aux fenêtres de sa pièce car n'ayant pas de rideaux elle craignait que l'oiseau ne se blesse en percutant la vitre.  Après avoir discuté et dédommagé la dame je la quittai.  Ses enfants qui au départ se méfiaient de l'oiseau avaient appris à l'apprécier si bien que l'annonce de son départ fut accueillie par des larmes.  Je décidai donc, en guise de remerciement de leur offrir un de mes deux petits touis célestes que j'élevais et qu'ils pourraient avoir une fois celui-ci sevré.  Ils furent très contents et je leur promis qu'ils pourraient venir voir Cajou chaque fois qu'ils en auraient envie.

Dès le lendemain je dirigeai mes recherches dans la zone boisée où avait été retrouvée Cajou dans l'espoir de revoir Pékan.  Jusqu'à ce jour je n'ai eu aucune nouvelle de lui et j'ignore si il a connu la même chance que Cajou, si il a pu s'acclimater ou si il est mort.  J'espère néanmoins que je le reverrai un jour en pleine forme et heureux dans sa destinée.

Entretemps Cajou, une fois revenue à la maison nous réclamait à corps et à cris dès que nous quittions la pièce où nous l'avions installée.  Dès que nous y entrions, mon mari ou moi,  elle nous faisait la fête se balançant devant la porte de sa cage attendant impatiemment que nous lui ouvrions pour aussitôt venir se réfugier sur notre épaule.  Une fois rentrée elle faisait les 400 pas en poussant de petits cris comme si elle appelait son compagnon. 


14 02 12 (4)14 02 12 (13)












Cette situation me faisait mal au coeur et par miracle je tombai sur une annonce signalant la vente d'un grand Alexandre mâle bagué de 2010 et donc du même âge que notre petite Cajou.  J'y répondis immédiatement et le lendemain, jour de la Saint-Valentin je pus offrir à ma petite femelle un nouveau compagnon très gentil et très calme qu'elle accepta immédiatement. Comme première idée je voulais l'appeler Valentin mais mon fils ayant un ami portant le même nom je décidai simplement de l'appeler Mister. 


14 02 12 (17)



14 02 12 (19)


J'espère qu'ils seront heureux ensemble et qu'ils me feront de beaux petits Alexandres mais une chose est certaine est qu'ils ne seront plus en volière mais bien dans une grande cage aux barreaux suffisament solides que pour résister à la puissance phénoménale de leur bec.


****************************************

QUELQUES PHOTOS DE MES TROIS ALEXANDRES

      Sans titre 1


       Sans_titre_2


               Sans_titre_3                               



                                                                                 



   

                                                                                            









Publicité
Commentaires
J
merci pour cet article et toutes les nouvelles, je suis heureuse de savoir qu'ils sont chez vous, je pense encore très souvent à eux, mais je sais qu'ils sont bien! rahhh pas facile de vous écrire car j'ai Jaco avec moi et il est plutôt envahissant le bougre mais il est de nouveau dnas une bonne période et les plumes repoussent très bien, fini les trous dans le plumage reste encore juste les ailes à combler mais plus de picage pour le moment, je croise les doigts. J'espère que Cajou et Pecan iront au nid au printemps, ils sont encore jeunes mais matures donc il y a des chances de reproduction par contre il faudra surveiller car il ne faut pas oublier qu'ils sont tous les 2 eam à la base. je vous souhaite beaucoup de succès et à bientot j'espère,<br /> <br /> Sylvie alias joycejazzz
Mes becs crochus, mon élevage, ma passion
Publicité
Publicité